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Edouard DEETJEN, orfèvre, ouvre en 1845 une échoppe Rue du Sanglier à Strasbourg.
L'électrolyse avait été découverte quelques années auparavant par J.B. Dumas.
DEETJEN commença à recouvrir certains objets de sa fabrication d'une couche d'argent.
Sa réussite lui permit de prendre de l'expansion. Il installa de nouveaux ateliers Rue des Hallebardes à Strasbourg, puis Rue des Frères puis Rue Brûlée dans les grands ateliers de la fabrique d'horlogeries d'églises.
Le fils du fondateur, lorsque qu'il succéda à son père, installa alors l'usine Rue Maréchal Foch.
De nombreux ouvriers et employés y trouvèrent leur gagne pain.
Bientôt, une succursale fut crée à l'étranger.
Une réputation mondiale est venue consacrer ce succès et avant la guerre les articles Deetjen étaient exportés dans la plupart des pays du monde.
Et voilà comment, du métal laminé naissent peu à peu les beaux et clairs objets d'argenterie qui viennent réjouir nos tables.
Edouard DEETJEN, orfèvre, ouvre en 1845 une échoppe Rue du Sanglier à Strasbourg.
L'électrolyse avait été découverte quelques années auparavant par J.B. Dumas.
DEETJEN commença à recouvrir certains objets de sa fabrication d'une couche d'argent.
Sa réussite lui permit de prendre de l'expansion. Il installa de nouveaux ateliers Rue des Hallebardes à Strasbourg, puis Rue des Frères puis Rue Brûlée dans les grands ateliers de la fabrique d'horlogeries d'églises.
Le fils du fondateur, lorsque qu'il succéda à son père, installa alors l'usine Rue Maréchal Foch.
De nombreux ouvriers et employés y trouvèrent leur gagne pain.
Bientôt, une succursale fut crée à l'étranger.
Une réputation mondiale est venue consacrer ce succès et avant la guerre les articles Deetjen étaient exportés dans la plupart des pays du monde.
Et voilà comment, du métal laminé naissent peu à peu les beaux et clairs objets d'argenterie qui viennent réjouir nos tables.
(source : Revue La vie Alsacienne, photo I.H.)